Certains textes sont comme frappés d'une langueur, d'une mélancolie natives, qui les prédestinent au « silence habité des maisons ». D'autres, à peine écrits, ont une force nonpareille : ils sont, dès le dernier mot tracé, des chevaux sauvages captifs, qui piaffent de l'impatience de retrouver les grands espaces, ou des vaisseaux impatients d'affronter le tumulte des océans.
9/9/17