4 réponses à ce sujet

[michelconrad]

« Ecrire » consiste à faire, chaque jour, l'inventaire des soleils. Chaque jour : de même que la rose s'épanouit, un jour de grand soleil, et se flétrit le lendemain, submergée par l'orage, nos joies, nos amours, nos tristesses apparaissent avant de disparaître, à chaque instant. Cet inventaire, toujours à recommencer, est le signe de la vie même.

[Victorugueux]

Je vous trouve lourd...lourd... lourd....

Faire des périphrases réitérées

cela ne fait pas vraiment léger

Choisissez  mieux vos mots

[bɔētiane]

« lourd ?? »

>>> the pot calling the kettle black ?

 

l'inventaire des soleils_

         j'aime beaucoup la formulation

 

  j'imagine l'iris _mais violacé

           se cherchant    parure du jour

   entre roux crème

        orange _jaune, jeune et joli

ou crépuscule rouge parme

[Victorugueux]

Soleils couchants

 

Une aube affaiblie
Verse par les champs

La mélancolie

Des soleils couchants.

 

La mélancolie

Berce de doux chants
Mon coeur qui s'oublie

Aux soleils couchants.

 

Et d'étranges rêves,
Comme des soleils
Couchants, sur les grèves,

Fantômes vermeils,

 

Défilent sans trêves,
Défilent, pareils

A de grands soleils

Couchants sur les grèves.

 

Paul VERLAINE   (1844-1896)

[bɔētiane]

nuancier des jours

       entre ultraviolet et infrarouge

 _et plus . . ...

 

cette chance inouïe

              je réitère   _inouïe

 que nous avons encore

le signe de la vie même

    Michel,

votre propos de mots simples, naturels   me parle

   de là, cette expression peut-être (en anglais) :

           >>> never take things for granted

 

          people with an attitude    

                 vs

    people with some altitude (where you stand _in your own way < 3)

 

 

                merci