« Le Sacre du printemps » : chorégraphie de Pina Bausch, ou comment la musique de Stravinski désarticule un corps émacié, comment elle impose son rythme, venu des origines du monde, à toutes les parties d'un corps, métaphore de l'émotion immatérielle, qui nous envahit tout entiers. L'irrépressible s'est mis en marche, comme dans la parole, quand les mots ne s'arrêtent plus.
L'irrépressible
Débuté par michelconrad, févr. 17 2018 08:06
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