L’été le ciel est bleu
Le soleil aussi fier qu’un paon
Dans les cieux fait la roue
Ainsi devant mes yeux tu te pavanes
Tu marches au pas traînant des caravanes
Ta présence me réjouit
Et ta vue m’éblouit
Dessus la route des caravanes
Tu es mon puits mon oasis
Ton corps semblable aux dunes du désert est meuble
Quand devant moi tu te pavanes
Je me perds dans ses dunes hautes comme des immeubles
Tu verses l’eau et l’ombre à satiété
Tu es le vent berceur qui agite les palmes
Tu apportes le calme et la sérénité
que recherche mon âme
Tes lèvres couleurs d’ambre ont la saveur des dattes
Tes baisers sont de miel et tu marches sans hâte
Alain
