Quand on dort seul, ce n’est pas le corps, c’est l’âme qui s’inquiète. La nuit est abrégée par les feux de l’insomnie. Exilée des légèretés de la tendresse, l’âme devient captive des charrois de la solitude.
14/5/18
Posté 14 mai 2018 - 08:54
Quand on dort seul, ce n’est pas le corps, c’est l’âme qui s’inquiète. La nuit est abrégée par les feux de l’insomnie. Exilée des légèretés de la tendresse, l’âme devient captive des charrois de la solitude.
14/5/18