Un songe s’esquisse, s’effile et fleur de ma pensée, distille d’opaques brumes aux reflets moirés ;
Jeu d’ombres chinoises où s’enlacent, insaisissables, d’étranges lueurs dans un mélange instable, cyclique et planétaire….
Charnel et d’une dualité précaire, dans ce clair-obscur éclot au contrefort d‘une incertitude, s’essouffle le murmure qu’aucun bonheur n’existe dans la solitude.