Avec des moyens, des vecteurs qui lui sont propres, visuels, tactiles, sonores, chaque œuvre garde trace d’une douceur de l’air, d’un regard qui fut le nôtre.
Avec ses armes, en présence du flux des incessantes métamorphoses, malgré l’œuvre de destruction ininterrompue du temps qui passe, elle sauvegarde une incidence de la lumière, un élan du cœur, un monde qui n’est plus.
12/6/18