Au vif du temps, j'attrappe ta main et glisse à nouveau et m'agrippe sûre,
avec la force de tes muscles convaincus de cordes à la tendresse du dur,
bien au-dessus du néant, aux noeuds étranglant les cous à la soif sans désert,
bien au-dessus du néant, à la flèche droite qui élève fière les larmes de joie ou de peine.
Au vif du temps s'accroît l'urgence de ta présence et tes voies qui assurent mes écarts.