Je me suis mis sous un saule qui pleurait couvert du voile de ses branches.
Derrière, le monde faisait la queue : il y avait des pas, des roues et toutes sortes de paquets et dobjets enchaînés les uns aux autres par la route et tous les murs qui sy dressaient.
Le saule était attaché, lui aussi, par un carré dherbe et déposait, digne mais inconsolable, sa longue gerbe.
Quand il n’y a rien que du papier à regarder #10
Débuté par concerto, juin 30 2018 04:14
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