C’est le chagrin qu’il faut broyer pour en extraire l’or des mots et pour qu’ils volent, comme oiseaux, vers la contrée de son amour, pour que résonne, dans le silence, l’écho infime de sa voix.
27/9/18
Posté 01 octobre 2018 - 10:18
C’est le chagrin qu’il faut broyer pour en extraire l’or des mots et pour qu’ils volent, comme oiseaux, vers la contrée de son amour, pour que résonne, dans le silence, l’écho infime de sa voix.
27/9/18
Posté 01 octobre 2018 - 05:11
A un Initié tel que vous, une question peut (et doit?) être répondue:
Les grandes douleurs étant muettes, la parole d'or, le silence d'argent, et, le son dépendant du nombre d'oreilles proposées par les murs, combien de grammes de poudre d'escampette devrait donc jeter le poète-alchimiste sur l'écritoire en fusion, afin que les mots, infatigables phénix, se volatilisassent en couinant fort peu?
Posté 01 octobre 2018 - 08:33