Ô Printemps de mon cœur
Printemps toujours tu es la quand mes fleurs reviennent
Toujours de ta fraîcheur tu nourris les sirènes
Des doutes de mon cœur
Ô printemps merveilleux
Quand tu entonnes tes plus grandioses chansons
Printemps mon cœur n'en est point sans excitations
Et se veut être heureux
Du Printemps fugace et sans heurt
Pourquoi la quiétude périt-elle dans le
Glacial été ? Tout est verdoyant, vigoureux
Au Printemps, tout est jeune, libre et amoureux
Mais quand cette chaleur vernale se défrigorifie
Et que ses rayons verts deviennent propos d'élégie
Je ne peux qu'écrire des mots et penser à la vie
Du printemps qui déjà se meurt
Ô Printemps de mon cœur
Printemps tu es là quand mes rêves adviennent
Tu guettes de ta tropbienveillance pleine
Des doutes de mon cœur
Ô printemps merveilleux
Quand tu détonnes dans les creux de mes os
Printemps mon corps ne s'en remet jamais trop
Mais enfin est heureux !