Les larmes ne viennent plus
Plus que la terrible traînée
Traînant ses épines glacées
Glace mon sang de ciguë.
Socrate m'apprendrait bien
Bientôt à oublier ces maux
Mots antiques et mots dévots
Volent sans sens et sans fin.
Elles écornent mon regard
Gare aux images trompeuses
Pesant bien trop à mon égard
Les gardes des années creuses.
L'homme au-dessus de la guerre
Naguère fut l'inspiration
Respiration dans l’Éther
Terminera ma complétion.