Ce poème est impossible à écrire ou rimer. Par contre, il est possible de bien le dessiner.
En flingue à cent mille coups .Pour le comprendre, il faut l'entendre, il suffit d'allumer
sa télé.
Et de bien regarder et puis de bien compter
et de bien regarder et puis de bien compter
et de bien regarder et puis de bien compter
et de bien regarder et puis de bien compter
et de bien regarder et puis de bien compter
et de bien regarder et puis de bien compter
et de bien regarder et puis de bien compter
et de bien regarder et puis de bien compter
de toujours regarder et de toujours compter
tous les corps
depuis mil-neuf-cent-quarante-huit tuit tuit
tuit tuit tuit tuit tuit tui tuit tués tués tués
tue-tue-tue-tue-tir-tir-tir-martyrs-mitraillés
continuer de compter et regarder encore
Chez euxXXXXXXXXXXX
embarbelésssssssss
en(((erclés)))
vaSSaliSéSS
tSSahaliséSS
tous les mortSS .