Épuisé hors d’haleine le vent est au repos
Tel un dieu de l’Olympe étendu sur sa couche
L’horloge qui jamais ne s’arrête ni ne se couche
Au tic-tac obsédant irritant pour la peau
Qui aux souffrances de l’homme est sourde comme un pot
Qui chaque année nous taxe et augmente nos impôts
Offre un visage plus détendu et plus dispo
Semble prête à faire halte à entendre nos propos
Et comme s’ouvre une parenthèse feint de sourire
Alain