A ceux qui se déplacent par la force des bras
Avec des bruits de chaînes des roulements de tambours
Plus aptes à naviguer sur une mare aux canards
Que d’affronter la mer immense vaste comme l’amour
J’aime à suivre ces voiles qui voguent au gré des vents
Qui vont surfant la vague, glissants silencieux
Pareils aux oiseaux blancs qui tournent dans les cieux
Ouvrant leurs grandes ailes s’amusant des courants
Alain