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Les yeux médusés


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#1 modepoete

modepoete

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Posté 24 janvier 2019 - 08:29

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Les yeux médusés

 

 

Les yeux médusés par le grand spectacle

Ma pensée s’assied dans la luminosité

Pour pénétrer les images de la réalité

Que l’œuvre  se découvre, Ô  pinacle!

¤

Fréquence indicible sortie du néant 

Ô Duale friction, voilà l’original du jour né

¤

Les mondes, systèmes, astres qui s’entassent

Forment les murs de l’univers; sourde filasse

Qui meuvent, bruitent, fracturent notre terre

Pour détachés, nous engendrer  être  monère

¤

De ce rien, Ô quartz! O atome! O molécule!

Vous nous avez mené sûr à l’être intelligent

Sur les grands chemins vagues, fertilisant

Notre pensée d’un prodigue savoir ; O  culte !

¤

Le scientifique, le philosophe et les autres

S’arrogent orgueilleux  de la connaissance

D’un monde illusoire dans la  résonance

D’un néant qui nous attend en bon apôtre

¤

Sa doctrine nous dit : sois humble et vigilant

Vis ma  nature sans rechercher son savoir

Sa puissance te laissera  jusqu’au dernier soir

Chercher, encor chercher son  entendement

¤

Et encor et encor : sois sagace être à vivre

Vis de ta nécessité  pour venir serein caresser

Cet  espace de temps que précieux je t’ai alloué

Don d’organe génétique de mon altruiste éternité

¤

Alors humain ne cherche pas l’infini introuvable

Trouve ce qui peut être qu’un bien : Le bonheur

Et laisse courir sur l’éternité le mal : Le malheur

Marche sage sur ton unique  espace temps stable

 

Toi l’humain  tu n’a qu’un avenir restreint

Celui d’être présent sur un monde exceptionnel

Ton instinct d’animal te donne  des droits naturels

Tuer, car tu te dois de survivre à l’espace vie, contraint

¤

Ne te laisse pas aller vaniteux au crime  inutile

Tuer n’est pas l’acte prohibé de l’assassin rebelle

Celui-ci mortifie ma nature qui servile t’interpelle

Dans ta sentence renvoie le mal au néant futile

 

Au demain l’intelligence a demandé à ton instinct

Pourquoi ton corps vagabonde sur cet interstice

Sur ce monde, sur cette terre, sans autre bénéfice

Que de passer là, nature façonnant innée ton destin

¤

Ne cherche plus philosophe, tu es riche, tu es pauvre

Tu es savant, tu es simplet, ne juge  nature divinatoire

Sans chercher, sans vouloir dans son cycle aléatoire

Qui a engendré  où, quand, comment ta pure  réalité

¤

Philosophe si tu es,  si tu crois être, tu es alors nanti

Tu es nanti  du savoir, nanti de la fortune ; o pauvre !

De la sagesse, laisse-toi aller vers l’humilité des autres

Tous ces simplets que tu rejettes à ne connaître  us de  ta  vie

 

La vie est si  simple philosophe, elle n’est ce que tu en dis

Tes mots  n’ont de réel  que ce que  tu  veux  leur faire dire

Quand tu té retrouve  seul à les bien vouloir  comprendre

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