Sous les cieux achevés de sublime tumulte,
Eternel ambulant, a faussé compagnie
Aux carcans désossés dans leur lente agonie
Qu’une ponce a blanchis sous des paumes occultes.
A glissé sur la nue au soupçon de l’insulte
Où l’âme des moutons accouche de souris,
Mais aima en secret, le coeur tendre et inculte
D’un jeu d’ombres qui ronge des chairs, leurs replis,
Pour bâtir le feston des ratières, un mépris
Qu'en beaux mythes crayeux les esprits se disputent…