Les mères n’ont de vertu que leurs entailles vaginales ! je n’en finis pas de régler mes comptes avec leurs douceurs, leurs bras.
Un ciel gris l’accompagne.
La misère des bêtes !
ce qu’elles prennent de temps et d’esprit, surtout d’esprit !
contente toi de solitude !
la chose réelle et factice d’enfanter, d’être ouverte.
De sourire et d’entourer.
le carquois misérable de sang et de patience !
cherche loin d’elles, de leurs amants la chose monde à dire et cachée plus profonde.
Le temps fait de nous des mondes froids, des astres !
alors que tu modifie et retire uns à uns tes organes pour devenir.
S’il ne comprenne pas l’innocence comme celle de l’enfance.
Plage hivernale ou je regarde la ligne d’horizon.
leurs secrets, leurs mots peu fiables !
je me défais de cette conscience, de son omnipotence d’invasion.
je ne recommencerai pas ailleurs
les plages du Nord cernées de noir.
quelque part cela commence.
nous donnons des mots puis nous aliéner à d’autres.
la peur d’être seul, de savoir et de s’avouer seul !