Jeu de titre
Débuté par gab, mars 06 2019 08:40
3 réponses à ce sujet
#1
Posté 06 mars 2019 - 08:40
À Julien Hoquet et mon très cher N****
Un homme
Emballé comme un gosse
Joue des noms comme du clair-obscur
Rêve
De pages blanches
Pour pouvoir accoucher de ses dilemmes
Répétitifs
Remords
De printemps
Laissent passer les anges
Et toi plus
Trop de preausouverte
Ou de terza rima
La maladie mentale
Du Dire
Le prend à quinze heure quinze chaque jour de la saison
Et le vingt-sept Mars (encore Elle !)
Vient rappeler à un homme
Et ses derniers petits vers
Que le temps passe
Et que N**** aussi
Un homme
Emballé comme un gosse
Joue des noms comme du clair-obscur
Rêve
De pages blanches
Pour pouvoir accoucher de ses dilemmes
Répétitifs
Remords
De printemps
Laissent passer les anges
Et toi plus
Trop de preausouverte
Ou de terza rima
La maladie mentale
Du Dire
Le prend à quinze heure quinze chaque jour de la saison
Et le vingt-sept Mars (encore Elle !)
Vient rappeler à un homme
Et ses derniers petits vers
Que le temps passe
Et que N**** aussi
- Dad Allaoua, Julien Hoquet et claus aiment ceci
#2
Posté 06 mars 2019 - 08:50
C'est quoi le 'preausouverte'?
#3
Posté 06 mars 2019 - 09:05
La preausouverte c'est de la prose, mais ouverte ( mot de mon invention ^^) j'avais fait un petit poème en prose qui partait dans tous les sens, et qui finissait en vers,avec des effets de présentationC'est quoi le 'preausouverte'?
- Julien Hoquet aime ceci
#4
Posté 07 mars 2019 - 07:44
le temps passe et l'amour aussi, heureusement, si tout devait rester figé! Le temps enterre, les souvenirs aussi, du moins les plus mauvais, mémoire sélective. Mais le temps fait également surgir, heureusement que l'art n'est pas immobile, surtout les vers des poètes qui portent et emportent toujours plus loin, comme l'oiseau qui déploie ses ailes ou ses lettres par la magie de leur grâce et leurs arabesques. Les vers ? Touches de plume frôlant l'insaisissable.