Le code ciselé
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Prieuré de Sion, remet à ma raison
Au plus caché profond, de ta tenue maison
Le code ciselé au revers d’une épée
Libères-toi aisé, au coin de ma pensée
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Santa Magdaléna, femme de la féria
Je prie sain ton aura, de n’être un paria
Qui croit le mensonge, au bout de ses vils songes
Quand l’épouse longe le divin qui s’allonge
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Si épouse se fut, d’enfants sera tenus
Dans la France venue au beau coin d’une rue
Rapporter souvenir de l’homme d’avenir
O Roi du repentir, ne nous laisse subir
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Humain ne te chaîne, coquin que l’on blesse
Voler ton adresse, d’un lai d’alaises dresse
Une aide tacite aux croyances sans suite
Assiste licite les cœurs sains qui s’irritent
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Ascète te flageller, morsures dépravées
D’une âme subjuguée par l’irréalité
Ta vie est illusion, garde gaie ta raison
Pour bâtir ta fusion d’humanité en don
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Elevé au trône, d’humain qui se clone
Dieu d’amour qui prône, le bonheur hors zone
Saches que la terre fut paradis naguère
Quand l’humain dans l’ère, avisé ne fut guère
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Humain ferme tes yeux, laisse là tous les Dieux
O regarde pardieu! Les douces images, joyeux
Sans penser à ce mal, que vil l’on te tend viral
Pour tisser immoral, un bénéfice phénoménal
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Athée le bon polar l’ait lu heureux soudard
Croyant dans mon regard que foi je me veux croire
Homme gourmand de fric tu n’as bien d’authentique
Que le pathétique : ton légal vol cynique
©ƒC
