Autour de la pâleur du soir,
Ton corps a surgi.
Trempé d images anciennes.
Dont le nom respirait
L agave et la douceur.
Dont le souffle portait
Le visage des reines.
Tu regardais se décomposer
La forme des heures.
Tu regardais la mort,
Bientôt tourner son visage
Vers la colonne de ton coeur
Serti d orage ou d eau clair.
On prononce un pays au dedans
De l hiver dis tu et puis on l écartèle.
On tait ce coeur aride,qui ne
Sait plus pleurer
dis-tu
et la
Peau famélique nous sert de
Mouvement.
Tu es là
comme l avenir dun
Poème en exil
comme un amour
Qui regarde le vide
Ton corps
aimant de lhorizon
De lor et du combat.
Dit-Elle
Débuté par Grenade, mai 07 2019 08:54
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