Des questions...
Y aurait-il une réponse qui soit simple à la question ?
Vous savez, cette question bizarroïde qui nous interpelle
Est ce que Dieux plus Dieux cela faisait-il bien Quiatre ?
Et ta mère, celle qui t'a élevé, était-elle vraiment une bonne mère ?
Dans le silence de ma vie sereine, je savais un calme repos
Je me dis qu'il faut savoir oublier toutes ces questions idiotes
Et Redevenir un vrai sage en oubliant les problèmes trop idiots
Ou bien savoir enfin c'est toujours vrai dans nos petites vies
Oui Les enfants, ils ne se posent pas vraiment de questions
Ils regardent vivre leurs parents et parfois ils les interpellent
Je suis maintenant, devenu hélas un vieux machin trop abimé
Mais j'ai aussi appris à écouter les autres, ceux qui m'entourent
Parfois je subis Des brimades par ce que je ne plais pas
À ces affreux des médias politiques et de la publicité ciblée
Mais je me dis: Inventera-t-on un jour une vraie démocratie
Où le pouvoir il sera vraiment partagé par nous tous
Le vieux machin, il ne sait pas vraiment s'il va bientôt voter
Car ignore qui fait quoi et surtout les idées données par les élus
On me traite d'affreux Nazis par ce que moi je n'y crois plus
Sans être un nazi ! Non ! Je n'aime pas cette époque du fric
Le vieux gamin que je suis parfois il rêve de belles choses
Comme d'une grande fraternité et d'une vraie égalité
Mais de nos jours il est encore plus dur de croire à la liberté
Je sais trop de pouvoir politiques ceux qui sont dans tous les médias
Il faudrait ! C'est sûr ! Revoir notre constitution démocratique
Et demander aux riches, un vrai partage de ces richesses immenses
Vous savez ! J'ai du mal à vivre dans ce monde des banquiers
Jésus qui disait autrefois qu'on ne peut servir deux maîtres
L'argent qui achète les âmes et qui les détruit, en les ignorant
Mon banquer se souciera-t-il un jour, celui-là qui vient, de mon vécu
Entre tout ce que j'aime et ce que valent tous mes beaux rêves
La matière c'est bien ce truc bizarre qui se vend et qui se manipule
De nos jour Le Jésus, il serait sûrement étiqueté communiste
Et aucun religieux,dans les institutions ne lui ferait un bon asile
L'argent qui tue les vies, c'est bien une réalité tristement matérielle
Je ne sais pas à quoi rêve un banquier, sinon des cours de la Bourse
L'écologie cette chose qui parle de la nature, mais elle est mal comprise
Mais peut-on parler des diverses choses qu'elle étudie et qu'elle préserve
Les orangs-outangs, ils ont sûrement cette chance de pouvoir être mis en avant
Qui parlera de ce petit oiseau et de ces petits insectes qui disparaissent
Parfois je ne sais que dire, car je sais trop de ces chose pas sympathiques
Le futur, il ne m'appartient pas, demain il échappe à ma vie trop simple
Un gamin qui vit maintenant, cela est une vie que je ne connaitrais pas
Il n'y a pas de raisons que je me plaigne pour cette vie parfois fatiguée
Il y a des milliards de possibles et je me dis qu'ils m'échappent tous
Nous n'écrivons rien de ce que nous devrions écrire, La bourse pour seul horizon
Il y a mille manière de rêver nos lendemains, mais Il y a peu de politique pour demain
J'aime rêver des étoiles, mais je sais des réalités qui sont bien trop matérielles
Paris le 11 mai 2019