Un homme perdu sans soucis dans la trace de ses pas gît une farce ne passant, pas que je ne le puis moins que ça, mais sachant où passer dans le creux de ce doigt cherche encore un peu d’espoir et de bague dans le tréfond de la passion. Caresse, chevelure suave et en dentelle me tire vers le plus mondial des réveils en grignote comme on s’embrasse et les poésies de ta maison jouis d’un plus grand thérémine. Terminant le travail titanesquement télévisées, G********* g** se gave de gâterie sans passage de tram, jusqu’au bout du tunnel. Pourquoi ne pas se voir un peu plus beau qu’on ne luit ? On luit on nage dans le printemps arabe, sans aucune conversation de personnage, sans aucun soleil qui se lève, champignon chimpanzé chaste chat chinchillant et cavalier, amertume du pouvoir. Que le temps n’est pas long dans la ride des morpions, joute verbale pour toi n’est que le reflet de ton âme, pourquoi ne pas le faire à sa place ? Baignant dans les vapeurs de la fonction publique, carapaçant les idéaux humains et carnassiers des médicaux fraudeurs, la frondaison miaulant aux pleines lunes de quartier, fête un quart de garçon pleurniche en son fort, mais l’intérieur lui jeu du pouvoir, remplis de haine et de superficialité superflue supertropique et anticonspirationnistement précautionneuse et justement foutriquet de ses colériques en pouvoir.
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Débuté par gab, mai 19 2019 01:39
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