Intimement marrant
Amarré par le temps
Évadé de marine
Maritime est l’usine
Océanique est l’orage
Brûlant séant commérage
Attaquant les océans
De ses niques et ô, céans !
Crève, canicule sous la pluie !
Maudit soit ce Soleil qui m’oublie !
Je cherche ses prunelles alors que j’nage
Dans les cumulos nimbés de nappage
Et que mercure se fend la poire
Et m’ignore, et s’endort comme un loir
D’or je ne confierai plus mes joies au ciel car
Ses farces téméraires à l’été froussard
J’en ai maritimement marre !