Trois jours surtout
Par-dessus tout trois jours en trop
Alors trois jours et que
Quand ils arriveront
Rient et grandissent
Les Quand ? de mon cœur
Toujours trop grands
Trop attrayants ou trop trop
Trop émotifs
Mais jamais libérés.
J’emmerde l’horloger,
Et aussi les mots tout faits
Tout bien digérés
Ressortis tout cuits
Tout beaux tout seuls
J’emmerde l’horloger, dis-je
Diligente passion
Impossible souhait
Envers celui qui nous épie de loin
Et meurt de rire.
L’inspiration perdu,
Je travaille
Ou bien j’attends
L’un est l’autre
Et l’autre m’emmerde
Je suis l’horloger de mes désirs
Si vulnérable et téméraire
Que je ne souhaite plus
Que la souffrance est belle
Et je meurs d’ennui.