Il me pousse des arbres au sommet du sommeil
Des agaves pleines de doigts qui
Nagent vers l épicentre de la moelle
Mêlent les ondes inassouvies à la fraîcheur du Néant par où
S Écoute la forme
De mon être se diluer dans la
Musique
C est un vent de phosphore dans le temps qui macère
Une détente sidérale
Une écriture sans convoi
Un lange aux habitacles clairs
Comme est claire la naissance
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Débuté par Grenade, août 27 2019 09:10
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