Coiffé en iroquois regard halluciné
J’ai le type du héros d’un manga japonais
Parti à la recherche de ma dulcinée
Lutant sans cesse pour accomplir ma destinée
J’affronte les océans dans une bande dessinée
Dans la houle qui me roule me soûle je perds la boule
Mon cœur percé de flèches prend l’eau de tous côtés
Je me meurs je décline jusqu’à la fin décembre
Gardant la tête haute à l’heure de mon trépas
Je reconnais mes fautes fait mon mea-culpa
A l’image de Paris je flotte mais ne coule pas
Comme le beau phénix qui renaît de ses cendres
Alain