Tlpsien +++
Posté 21 septembre 2019 - 04:58
Avec la vivacité de l’orpailleur qui cherche une gemme dans le sable des rivières, il nous faut saisir cet instant évanescent, sans cesse recommencé, fongible, volatile, car il est le « bateau ivre » de nos jours, la seule chose qui soit la vie. Nous n’avons que quelques secondes, pour « saluer [sa] beauté », pour dire notre amour, avant que le « nevermore », à jamais, ne l'emporte, aux détours du chemin.
19/9/19
"La rose de septembre" (20/9/19). Tous droits réservés.
Tlpsien +++
Posté 21 septembre 2019 - 08:04
Et c'est parce que nous n'y arrivons jamais tout à fait
à effleurer à peine l'instant
parce qu'il y a toujours ce manque, cette faille
que nous continuons à écrire...
"...Dis à ton tour maintenant
Que la vie n'a d'importance
Que par une fleur qui danse
Sur le temps
L'important, c'est la rose
L'important, c'est la rose
L'important, c'est la rose
Crois-moi." (Gilbert Becaud)
