Blotti près de ton maître
Qui attend une obole
Pour t’offrir à manger
Celui qui sait peut-être
Le parfum de tendresse
De cette vie blessée
Avec tes yeux de braise
Et la foule qui passe
Fleuve de gens pressés
Venu te caresser
Tu approches ta tête:
“Nous deux, on se connaît.”
à propos des chiens des présidents et des clochards...