J’admire la beauté des fleurs
Je ne cesse d’admirer la beauté
Incroyable des fleurs jaunes d’or
En espérant voir l’humanité
S’éveiller sans penser à la mort
Ou ignorer que l’orgueil humain
Reste le mal qui ronge les cœurs
Usés, attise les désirs malsains
Et amplifie les crises intérieures ;
J’ai voulu me recueillir en paix
Sur les tombes de nos ancêtres,
Ils avaient crié, rangez vos épées
Forgées et rouillées pour renaître
À l’espérance, ne cherchez pas
Ce qui est en vous à l’extérieur,
Évitez toujours de mordre à l’appât
De la trahison ou des agresseurs
Qui trompent la tendresse
Exquise par les gros mensonges
Qui vous descendent à la bassesse
En vous réduisant à l’esclavage
Perpétuel sans donner le temps
À la lumière du soleil levant
De vous montrer le virus latent
Qui menace ce monde fascinant.
Dad Allaoua