O lueurs de soupirs
Ce soir dans la pénombre
De ma chambre ronde
De mystérieuses ombres
A la couleur de cendres oblongues
Se vont toute sombre
Reviennent en nombre
Et sans cesse mes doigts me les montrent
Gentillets se referment à leurs rencontres
O lueurs de soupirs! Mes désirs en fronde
Me Volent d’illusions, mon bonheur qui gronde.
Ne laissez pas aller vos soupirs
Ils ont facile ce grand désir
De venir et vous conduire
Sur le ciel bleu de vos plaisirs
Pour votre âme à jamais, réjouir.
©ƒC