Je prêche la vérité des faits partout
Je prêche la vérité des faits partout
Pour éclairer les cerveaux lessivés
Même si je deviendrais le grand fou
Ou le malade à abattre ; L’œil rivé
Au ciel, j’avance dans les endroits
Les plus sombres par la lumière vive
De la raison sans être celui qui croit
À la force du mal ou l’être qui ravive
Les graves blessures du lourd passé
Colonial dont le souvenir me force
À décorer les tombes délaissées
Sans jamais m’abreuver à la source
Des conflits ou accepter de subir
En silence les injustices du racisme
Généralisé qui essaye de nous abêtir
Par les symboles d’un mondialisme
Sauvage qui appauvrit les nations,
Enrichit les maîtres esclavagistes
Et facilite les habiles manipulations
Des masses par les discours fascistes
Qui provoquent les implosions internes
Pour diviser les peuples en ethnies
Confinées dans des vraies cavernes
Sans oser se libérer de la tyrannie.
Dad Allaoua