Sommes-nous des prisonniers
Sommes-nous les prisonniers
Du carcan Imposé par l’orgueil
Puéril qui nous force à oublier
Totalement qu’un seul soleil
Échauffe la terre nourricière
Et qu’une seule lune éclaire
La nuit lorsque les paupières
Se ferment et le rêve menteur
Emporte nos esprits follets
Loin de la réalité géopolitique
Qui assombrit le ciel étoilé
Et aiguise la force tyrannique ;
Sommes-nous des imbéciles
Maintenus dans l’immobilité
Des morts par la main débile
De de la peur atroce suscitée
Par la propagande totalitaire
Des conspirateurs supposés
Causant les crises incendiaires
Et morale pour imploser
De l’intérieur les pays agressés
En imposant le silence lourd
Aux populations angoissées
Par le bruit des tambours
Dad Allaoua
