Camisole d’aurone,
Une attache aux affins
De nos mouches de bronze,
Comédons à la cendre
D’un fumet âcre doux,
Et l’adieu passager
De ce charme aux bras nus,
Battant l’or du silence.
Oripeau de l’automne
En nos jardins secrets,
Une feuille, un destin,
Sa lente parabole,
Que nul n'écrit jamais,
Qui reste lettre morte…