Quelques propos...La suite
Aimer ? La belle affaire ! Dans les faits, c'est savoir vivre avec tendresse
Chaque matins, je me rappelle de mes nuits, pleines de rêves sans limites
Dans l'enveloppe timbrée, votre nom écrit et toutes les choses qui vous sont dites
Dans mes divers tableaux que j'ai mis sur mes murs, il y a beaucoup trop d'artistes absents
Dans mes histoires enfantines, je ne savais pas toujours, celles que je choisis
Dans tous les gens que j'aime, avec le confinement, ils sont devenus trop lointains,
Des affaires en vrac, avec des myriades de trucs de Bazar dans un grand désordre
Des iles lointaines ? je ne sais pas trop ! je vis une vie beaucoup trop restreinte
Des outils pour ouvrir ses mots, les écrire, éditer et surtout blablater
Entre ce que je mange et ce que j'aime, il y a des différences dans mes achats
Epsilon dans un problème de maths, ce n'est jamais qu'un presque rien
J'aime, les chiens, les humains les femmes, bref toutes ces choses qui nous apprennent la vie
Je m'inquiète des absents, mais parfois aussi je me sais peut être, beaucoup trop seul
J'irais là-bas ! Peut-être ! Je deviens trop casanier et sans vraies envies de voyages
Juin qui est là c'est bientôt, l'été qui vient, et la canicule, je me souviens de l'an passé
La cuisine, elle me dit parfois des choses sur mon quotidien, entre mes goûts et mes plats
La dame de mes pensées,elle avait peur de moi car elle me savait trop visible par d'autres
La météo change parfois pluies, parfois chaud mais c'est bien comme ça
La Musique que j'écoute sur les radios, elle change, je sais aussi certains agacements
L'amour c'est parait il une belle chose, je sais de la tendresse mais pas vraiment le cul
Le calme printemps qui passe, je sais des pluies et des éclaircies, le mois de juin qui est là
Le top en informatique c'est parait-il que vous êtes référencés dans des systèmes
Les choses les plus évidentes, cela reste de savoir ce que l'on doit aimer
Les démocraties qui sont dans ce monde politique, elles sont plutôt mal comprisse
Les discours politiques parfois je n'y vois que des croyances ou des actes de foi
Les histoires politiques entre un roi incroyablement égoïste et nombrilesques
Les images que j'aime,elles sont multiples entre mes souvenirs et des femmes nues
Les plus vieux Poètes, C'est sans doute les sorciers bavards de notre préhistoire
Ma dame Danièle Messia, Hélas Je ne sais pas vraiment, si j'aurais pu vivre avec vous
Madame êtes-vous vraiment disponible ? Excusez moi ! Ben pas moi, car j'ai trop peu de choix
Madame la mort! Je suis désolé mais je me fous de vous car j'ignore votre réalité
Mille milliards de mots dans des associations diverses; mais combien de beaux poèmes
Miroir de l'âme ? je ne sais plus vraiment je sais trop de nombrils très égocentrés
Mon petit Bruno ! Me dis-je ! Dans les faits je me sens aussi beaucoup trop seul
Nues, nuages, Nuées ! Quelques dames que le regard déshabille et une météo pluvieuse
Papa que tu me manques, car tu savais me parler, et me dire ces choses très humaines
Papa, maman, heureusement j'ai quelques photos de vous, mais vous me manquez
Parfois je me tais et j'accepte cela sans problème, car c'est ma vie ordinaire
Pour aimer ? il faut rester sans avoir de problèmes, ma télépathie qui m'emmerde
Pour ce qui concerne ma foi profonde, J'aime Jésus, mais je n'aime pas saint Pierre, un chef de secte
Pour ma télépathie, j'en souffre par tous les commentaires...Là j'aime ce gamin gentil qui en rigole
Quelques ingénieurs très heureux qui se disaient pouvoir expliquer tout notre monde ordinaire
Télépathe ? Oui je le suis ! Mais je sais trop les psys très ordinaires et tous leurs diagnostics
Un chien est-il une bestiole que vous aimez ? Je sais trop de gens banals qui sont sans affect
Un poète en vaut-il un autre ? Je ne sais pas ! C'est à voir ! Être ou ne pas être ?
Un portrait c'est surtout décrire un visage et toutes les qualités d'une personne qui est décrite
Un siècle nouveau parait il ! Il change entre tout ce que nous aimions et aujourd'hui
Un vice de forme d'écriture, c'est aussi parfois un nouveau terme dans un poème
Bruno Quinchez Paris le 14 juin 2020