A la mémoire, des absurdes présents
Allez maintenant ! Déroutons le passé !
A la mémoire, de tous nos passés...
Déroutons nos présents, dès maintenant,
Prenons les étoiles, dans nos petites mains,
Et de nos petites habitudes quotidiennes,
Alors faisons les chemins incroyables,
Arrêtons de nous faire notre cinéma,
Soyons vivants vivons pleinement
Apprenons à nos enfants,
Tout ce que nous aimions vivre,
Et à ces mutants du futur,
Improvisons pour eux l’avenir,
Réapprenons leur à pouvoir rêver vraiment...
Cela sans machines connectées,
Entre les ordinateurs ou les portables,
A nos enfants, des imitateurs fidèles,
Apprenons leur, la musique des étoiles,
Over drive stellar for new génération,
Planons dans des bêtes raves,
Qui sont toutes pleines d’amphétamine
Ces choses de l'ordinaire qui est parfois si dur
Oublions tout ! Et vivons ensemble !
Emmerdons de tout nos cœurs
Ces choses qui sont bien trop humaines
Nos chefs d’œuvres qui sont consommés,,
Entre celle que l'on aime et celles qui s'imposent
Cœurs de cibles, je tire dans ton cœur en direct,
Gamins avec des myriade de trucs sur le net
Tu n'es qu’un naze, de la publicité ciblée,
Oui ! Tu n’es que ce naze qui est très commun,
Un naze nasillard, qui croit n'importe qui
Des trucs dits parfois, c'est une philosophie de nazi,,
Des nazis qui se croyaient des surhommes
Mais ils oubliaient la tendresse envers les autres
Dans une violence assez méchante et cynique
Pour certains les désirs se sont des ordres
Des gens qui rêvent d'un monde trop banal
Avec des choix qu'ils nous imposent
Mais peut-être pas, dans mes rêves
Je sais des publicité, et de la propagande
Pour des consommateur trop ordinaires
Entre une voiture qu'on utilise pour se déplacer
Et des crédits que l'on paye pour toute une vie
Il y a Parait il quelque quinze personnes qui sont très riches
Elles possèdent parait il autant que 99% de l'humanité
Je ne sais pas si je dois les haïr pour moi c'est de la folie
J'ignore ce que je vaux je sais des lecteurs qui le lisent
Lecteur ! Dis moi que tu m'aimes ! Juste ce petit truc sympa
A la mémoire, de nos maîtres,
Qui ouvraient leur prêt à penser !
Dans d'incroyables baratins complexes,
J'ignore si un jour on parlera de la vérité,
A la mémoire des esclaves,,
Ceux que nos nous sommes, des cons sommateurs !
A la mémoire de nos enfants,
qui sont conformes à tous nos cauchemars !
A la mémoire du lendemain que nous rêvions,
où tout irait pour le meilleur de tous !
A la mémoire des putes de la publicité,
Celle-là qui nous bourrent de gadgets !
A la mémoire des passés d’autres temps,
où, nous étions vraiment libres de rêver,
A la mémoire de nos frères,
dont les sanglots peuplent nos vies
Bruno Quinchez Paris le 15 avril 2005
Texte retravaillé, Paris le 31 juillet 2020