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(28 pompes et tais-toi)
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« Des mitrailleuses d’or coassent les légendes »
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Couleuvrine à l’épaule :
A force de jouer de la guimbarde
Il a fini par manger du nougat.
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Garant,
La béquille le soutient,
En beau pied de cigogne.
Mais il a encore
Les grands yeux plus grands que le ventre.
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Crachez-lui donc aux yeux,
Gueulards que vous êtes !
Il a les bottes au chaud
Et il déraille fol…
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Si musicien s’entiche
De clarinette. Lui, poète
Manipule un fus:A:in
Quand moi je tringle
Sa femme.
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Dormez, dormez pétoires :
Ne tromblons point la nuit !
Les étoiles sont assez
Eparpilleuses, qui prirent
La poudre d’escopette.
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Lebel a tant les crocs, mademoiselle,
Il en creuserait des bâtons
Comme des
Sucres d’orge.
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Chapeau bas dans les bourgs nus—
Ni béat, ni raide—juste surpris
D’un coup !
Par l’emporte-pièce.
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(https://www.languefr...et/Synonyme/179)
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(Bam bam zimboum)
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« Ô batailles la terre tremble »
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¡
Dare étendu
abstRétisant les MAN-
DOLINE, Der, Der
déRaiSonnablement
car de ton art femme au FAMA canardant
si mort est plus subtile que la vie
que dire de l’art mort quand chez nous
c’est la harpe ?
Les verticales se couchent et les cercles crevés se l-i-n-é-a-r-i-s-e-n-t. (flop)
Puisque la lute est
TrancHante
la Claire Corde aCérée
puisque fusiller est un curieux
DENOMINAL
un vrai de vrai
qui dit et forge . . . . . . . . cendres (rare !) mais du regard
·. . . se méta . . . phore.
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Qui
nous
tient
à
l’
Œ
il
?