Éloge d’une paire de seins
Les prendre dans la main, les voir, les soupeser,
Comme des gros melons murs, les sentir, les peser,
Ces deux choses que vous posséder ma princesse,
Quoique je ne sache rien, de vous et de vos fesses.
Très chères belles dames vous nous faites rêver
Quoi qu’on ne sache bien, tout cela que vous avez
Mais parfois des fantasmes passent mieux sur l'écran
Et je vous dis, tout cela, ce bien n’est que du nanan
Madame, j’aime encore et toujours, vous voir et draguer
Mais je me dis moi aussi, de ce petit-rien vous me baguer
Même si j'aime toujours et autant, certes ma grande liberté
De beaux nénés pour une bonne année... O ma princesse!
Même s'il faut que votre douce échine galbée que je caresse
Avec verge dure et ferme pour mieux, vos fesses vous fouettez
Bruno Quinchez Paris le 3 janvier retravaillé le 9 janvier 2005
Poème mis sur le site le 4 janvier 2021