Je trouverai le ton du temps du temps qui passe
Quand tu t’y arrêtes chanter
Le faux jour, la vraie nuit
Tes yeux bisant ma face
Devant la pianola
Le Dieupason se cache
Quand tes appoggiatures me le font entrevoir moi qui m’accroche à la clé
Et si ma voix déraille, et si mes mains sont graves
Le coeur s’élance au gré
De ton exposition
Égal ou diminué
Le nombre s’intercale derrière l’alphabet
Quantilène
Des chantres coule le rythme de l’eau
Sourde et muette
Ô longueur de tes jambes
Qui scandent sur leur traverse nos âmes haut perchées