Je reste l’ami des enfants attristés
Je reste l’ami des enfants attristés
Et l’ennemi du mensonge continuel ;
Je suis un solitaire attaché à la vérité,
J’aide à la compréhension mutuelle,
J’interprète la réalité des choses
Et le langage des fleurs de jasmin
Sans oublier d’offrir des belles roses
À ceux qui veulent changer le destin
Des gens sans admettre que le sort
De l’humanité demeure commun
Ou essayer de régler les désaccords
Pour prospérer, s’enivrer du parfum
De printemps et de s’éclairer
Par l’espoir naissant qui purifie
Les cœurs malades sans torturer
Les âmes ou faire du profit ;
Je chante l’amour que je porte
À tous les peuples du monde
Sans reconnaître la race forte
Ou trahir les pensées profondes
Qui traversent mon esprit
Et consolent ma tristesse intense
Sans me changer en poète incompris
Ou supporter l’insolence.
Dad Allaoua