A peine un quart de lune
Sourit tristement à mon âme
Égarée dans vos yeux prune,
Mon cœur pour vous se pâme,
Une brise chocolatine
Me pénètre doucement
De demandes enfantines
L’espace d’un instant,
La mémoire des brises marines
Effleure légère mes narines,
Et ondoie lascive au vent.