Je respire le parfum des roses
Je respire le parfum des belles
Roses en compagnie de la vérité
Sans éteindre la flamme éternelle
De l’amour qui unit l’humanité
Dans la fraternité universelle
Ou confondre l’assassin coupable
Avec les victimes potentielles
Qui étaient gentils et aimables ;
Je poursuis sans trêve la voie
De la raison sans entendre
Les hurlements ou étouffer la voix
Juste qui apaise les âmes tendres
Des ancêtres, rend le sourire
Aux enfants orphelins et apporte
La clarté qui nous aide à conquérir
La liberté en fermant les portes
Du trépas ; je demeure dur
Pour les criminels et un homme
Sensible pour ceux qui endurent
Les insultes sans sentir l’arôme
Des jolies fleurs ou la douceur
De la vie qui les laisse vivre
Et prospérer loin des tueurs
Qui dépouillent les cadavres.
Dad Allaoua