Tu demeures une terre fertile
Tu demeures une terre fertile
Et vivable, où naissent les illustres
Citoyens qui punissent les vils
Traîtres, honorent nos ancêtres
Unissent le peuple dans l’amour
De la patrie et chantent l’hymne
National sans demeurer sourds
À une déclaration commune
Adoptée le premier novembre ;
Personne ne pourra étouffer ta voix,
Ou imposer le silence funèbre
À une nation libre qui a la foi
Dans les vertus de ses arrières
Grands-pères qui avaient chassé
Tous les criminels sanguinaires,
Venus de l’extérieur annexer
Un territoire ancestral et souverain,
Où germait la sainte fraternité
Qui détermine l’incroyable destin
D’une population assurant l’unité
National dans la grande diversité,
Qui l’aide à enrichir sa connaissance
Profonde et à mourir dans la dignité
Sans mettre le voile de l’ignorance.
Dad Allaoua