En ce désert de toi,
je rêve de ton corps,
je le crie sur les toits,
avide de cet or,
et la tristesse au cœur,
inaccessible reine,
j’invente la douceur
de ta peau si lointaine,
c’est comme une mort lente,
et l’absence de toi,
en cet éternel manque,
me traverse de froid.
18/8/21
"Ciel" (17/8/18). Tous droits réservés.