tel le Sphinx, hiératique,
dans les sables du désert
la tête haute, impavide,
aveugle et sourd
au bruit du monde,
immuable comme le destin,
avec dans son regard mort,
parfois, furtive,
une vague lueur d'éternité
Posté 20 août 2021 - 07:59
tel le Sphinx, hiératique,
dans les sables du désert
la tête haute, impavide,
aveugle et sourd
au bruit du monde,
immuable comme le destin,
avec dans son regard mort,
parfois, furtive,
une vague lueur d'éternité
Posté 20 août 2021 - 09:27
Bonjour Jped,
Comment ne pas aimer les chiens ? Pour l’émou qu’ils nous donnent, leur absolue fidélité... Les vieux chiens sont attendrissants, avec leur besoin d'avoir un bon coussin pour leurs vieux os, leur fidélité absolue, ....
Ton poème m'a plu ; il leur rend grâce et noblesse.
Cordialement,
Patricia.
Posté 20 août 2021 - 12:27