Quand bêtement de mon vivant
Aux battements du coeur le temps
Travaille en tant que blanchisseur
L’âme loin d’être une lumière
Serait plutôt la noire soeur
Du livide de ma chaumière
Et tandis que d’une seconde
À l’autre un rien m’y porte pâle
Je ne rêve de meilleur mal
Que toute l’ébène du monde
D’une ténèbre lacrymale
Pour nuire au supplice d’opale