Tu ne laisses pas tes doigts courir
Sur les cordes d’un instrument
Ni sur les touches d’un clavier
Mai ! Quand tu te mets à fleurir
A l’orgue tu n’as rien à envier
Le vent volontiers interprète
Tout ce qui te passe par la tête
Et à chacun de tes mouvements
On voit le ciel différemment
Et souvent cela fait sourire
Alain