5 réponses à ce sujet

[Violetta]

Bonjour,
je suis heureuse de vous présenter un récital de chansons poétiques polonaises, une mise en lumière d'une part de l'œuvre d'un grand compositeur polonais et d'un répertoire peu connu en France, interprété par Violetta Wowczak, artiste polonaise résidant en France depuis 1985, accompagnée au piano et au violon de Mariette Freudentheil – Duchamp, concertiste.

« Paysages »

Un récital de chansons poétiques polonaises
puisées dans le répertoire d'Ewa Demarczyk
mises en musique par Zygmunt Konieczny
Précurseurs en Pologne, ils ont donné ses heures de gloire à la chanson littéraire moderne.

Le 17 mars 2008

à 21h

À l'Archipel
(17 bd de Strasbourg à Paris 10^ème/M° Strasbourg St Denis ou Château d'eau))

Réservations au 01 48 68 75 73

Tarifs: 18€ (tarif plein)/12€ (étudiants, - de 18ans; et chômeurs);

Duo : deux places pour 30€ au lieu de 36€ (soit une place à tarif réduit)

Aborder ce répertoire n'est pas sans un certain risque. Mais comment rester insensible devant la beauté de cette rencontre avec une oeuvre poétique si brillamment mise en musique par Konieczny. C'est un défi et surtout un plaisir dont nous n'avons pas voulu nous priver. Slave vous avez dit slave? … Sans aucun doute. Dans sa note majeure, dans ses bouts de souffles émotionnels, dans sa prise charnelle de la voix, dans ses emportements nostalgiques et sa joie triste.

Un répertoire qui n'a pourtant rien de « folklorique ».

Chaque chanson est une histoire, un petit drame du quotidien, une farce amoureuse, une tragédie..... Des poèmes classiques et contemporains qui racontent la mort, une rupture, le temps qui passe, la guerre, l'automne, une trahison, la pluie et…. L'amour, bien sûr l'amour… Mis en musique par Konieczny, ils deviennent paysages de l'âme.

« La musique de Koniecny ne se chante pas. Elle ne se joue pas. Elle s'interprète. »

Une rencontre intime avec le public

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[Baptiste]

Mon papi est fils de polonais.
Enfance très dure à la campagne, tout ça, il est d'une force colossale et aussi grand qu'un géant. Il parle très peu et ne fait aucun geste superficiel, de la manière des hommes forts. Ha ! Cette race d'homme, ces hommes qui en ont tellement bavés tout en restant muet de plaintes ! Ils vont disparaître, remplacés par une génération de semi-pédés totalitaires.

[Baptiste]

Je n'ai jamais vendu d'hot-dogs à Boston j'en ai vendu à Freeport l'année dernière, cette ville immonde et maffieuse contrôlé par L.L.Bean™ et j'aurais bien rie de vendre ces étrons à ces familles de porcs américains, venus acheter de grotesques oripeau, si ce n'était que je devais en manger moi-même pour assurer ma survie. Repas que je vomissais le soir même, et je tuais des chats, comme le font les coyotes, pour me nourrir décemment.

[serioscal]

Tu as dû beaucoup souffrir. Heureusement qu'on t'a donné asile.

[Baptiste]

Non je n'ai pas souffert car j'y ai trouvé de la drogue.
J'ai appris qu'il est beaucoup plus facile pour un jeune américain de trouver du cannabis que de l'alcool.

[serioscal]

L'idéal vrai, tu le sauras (jeune homme) est de fumer ses pieds et de boire ses doigts.