J.G. Mads

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Un "manifeste" n'a pas le pouvoir de "refuser" au sens de "faire interdire" : celui qui s'exprime "contre" n'est pas obligatoirement un censeur ! Il s'agit de critique. Je suis presque d'accord avec Serioscal, sinon. PRESQUE, car il faut interdire l'art contemporain qui maltraite les animaux.

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Chacun s’habille comme il veut, et croit en Dieu

Ou pas : on laisse ici de bon cœur libre choix.

Sache que tu te rends complice, toutefois,

De tous ces massacres, car ils sont religieux,

En affichant sans honte un style rigoureux.

Par ton intransigeance imbécile, ma foi,

Tu montres combien les morts ne comptent pas

Pour toi ; tu soutiens des actes odieux

En exposant ainsi ta radicalité.

Sache qu’elle est laide, ta solidarité,

Et que, même passif, ton crime est monstrueux

Car tu acquiesces quand tu fermes les yeux,

Car tu encourages les tueurs avec ta foi

Aveugle – tu concours aux sanglants attentats.

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127- Ils affirment que notre espérance de vie a augmenté, sauf que tout ce qui est globalement vrai est particulièrement faux. L’existence humaine n’a même d’ailleurs jamais été aussi brève : le temps vole d’autant plus vite qu’on nous le vole, et la modernité ravissante semble n’avoir point d’autre fin que de nous plumer jusqu’à la moelle.

http://armel-camille.blogspot.fr/

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denis : mon 111è pampre est pour toi (je partage presque tout avec toi, jusqu'à ton cendrier bleu... sauf ta détestation de X. Dolan)

alfred, dis m'en plus sur TOI afin que je puisse évaluer ton évaluation

bruno, mon vieil ami, débranle-toi, tu décèdes trop mortellement avec tes acrostiches

zarha, ma préférée, je m'en vais bientôt t'écrire une très belle lettre que tu recevras sans doute après ma mort et putréfiction

sérioscal, ouvre tes yeux crevés ! 

denis, comme je t'aime bien (tu le sais, hein, frangin), voici directement la conclusion de notre dialogue sans issue :

« L’homme se croit aisément maître des choses parce qu’il est maître des signes abstraits du langage qui les représente. » G. Bernanos

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(pour info le "facho" votera maquereau au second tour, et tant pis si mille fois beurk)

Jean-Marine

à la chevelure d'urine

et à la voix néo-nasillarde

et au parfum gaz-moutarde,

tu parles !

la borgnesse patrouillote

qui rote

quand elle parle

(merde ! tu me connais assez ! finis toi-même

ce poème !)