Fourré aux paradoxes
Le dégoût, c'est bien cela que je m'inspire
Pourtant
je n'en peux plus de cette sensation surtout quand je le dis. Surtout cela
Nous ne sommes que des incapables à nou-er
au lieu de je-ter
J'aimerais vomir tous les retournements assidus qui s'opèrent
comme la tête qui se cambre vers la queue.
C'est détestable de ne plus en pouvoir,
la main sans cesse savonneuse qui ne débraye pas la corde
enfin les corps
qui m'hantent cette profondeur qui se devrait évitée
alors qu'il n'y a que de l'absolu et de l'intemporelle.
Les tords de la mer ne balayent pas la souffrance
ils n'existent pas, elle est déroulée. Son eau est pure
emeline's Content
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#363241 Figures
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on 18 December 2006 - 11:19 AM
in
Salon de publication principal
#362061 Des Terres Rousses
Posted by
on 08 December 2006 - 09:36 AM
in
Salon de publication principal
Je viens de réaliser
Il y a quelque chose de désagréable dans l'évolution/ bref. les minutes qui passent là quand
on est ensemble. C'est bien si tu lis parce que c'est pour toi.
Donc, en faite, on se connaît depuis que tu as fini d'être malade
Ou quasiment, depuis que tu te sens doucement mieux
Ca signifie qu'on se connaît depuis que tu commences à oublier les souvenirs immédiats de l'afrique
C'est triste ça, non ? les souvenirs
A quoi ça sert. non on s'en fout en théorie. mais en vrai ça rassure, et bien sur que toute la
terre et les yeux te sont rentrés dans la peau, mais les émotions on a pas envie obligatoirement
de les transformer en quelque chose de bon d'utile pour l'avenir. à savoir l'expérience
Les transformer en savoir. On aimerait plutôt les garder intacts. Parfois
Surtout pour l'Afrique
Pour l'odeur et le reste
Il y a quelque chose de désagréable dans l'évolution/ bref. les minutes qui passent là quand
on est ensemble. C'est bien si tu lis parce que c'est pour toi.
Donc, en faite, on se connaît depuis que tu as fini d'être malade
Ou quasiment, depuis que tu te sens doucement mieux
Ca signifie qu'on se connaît depuis que tu commences à oublier les souvenirs immédiats de l'afrique
C'est triste ça, non ? les souvenirs
A quoi ça sert. non on s'en fout en théorie. mais en vrai ça rassure, et bien sur que toute la
terre et les yeux te sont rentrés dans la peau, mais les émotions on a pas envie obligatoirement
de les transformer en quelque chose de bon d'utile pour l'avenir. à savoir l'expérience
Les transformer en savoir. On aimerait plutôt les garder intacts. Parfois
Surtout pour l'Afrique
Pour l'odeur et le reste
#362058 Persiennes
Posted by
on 08 December 2006 - 09:28 AM
in
Salon de publication principal
mais ca n'a pas tant d'importance
#361914 Une Muse Fauve
Posted by
on 07 December 2006 - 12:10 PM
in
Salon de publication principal
je vais répondre
ton introduction jette trois flèches directives
elles sont là pour toi et ta définition des dimensions du texte, non ?
pour t'encourager il y aura le nord l'est et l'ouest
le sud se déroule plus facilement . pourtant ce sont des flashs
comme ceux que tu évoques après . elle est marrante cette idée éléctrique
un peu comme les cheveux roux fauves je suppose que ca vient de là
et des trains qui font bcp de reflets , ou on peut imaginer d'autres choses - je vous y laisse
cette partie
Longtemps après j'écrivais dans les trains
Sur son souvenir
De rien me disait-elle
est la plus forte.
quoique l'odeur des pommes, est bien aussi .
tu sais pourquoi ? parce que tu reviens a l'essentiel
l'essentiel c'est on corps et ton passé,
tu ne sais rien du reste qui se déplace
c'est une ondulation de l'espace temporelle
de l'invention.
Puisque tu ne sais rien de moi,
tu construis néanmoins en plus des éléments types
dun peu de nature un peu de drôlerie (canard) d'un peu de contexte .le vésinet le bac
tu construis avec trois idées . que tu colles a l'image de moi
trois trucs qu'il te fallait poser là, parce que tu le penses vraiment . ce sont des trucs sérieux
et beaucoup trop gentils. Le monde n'est pas un nuage et si je saute du balcon je meurs dans le goudron du parking.
mais tu le sais ,
je tembrasse
ton introduction jette trois flèches directives
elles sont là pour toi et ta définition des dimensions du texte, non ?
pour t'encourager il y aura le nord l'est et l'ouest
le sud se déroule plus facilement . pourtant ce sont des flashs
comme ceux que tu évoques après . elle est marrante cette idée éléctrique
un peu comme les cheveux roux fauves je suppose que ca vient de là
et des trains qui font bcp de reflets , ou on peut imaginer d'autres choses - je vous y laisse
cette partie
Longtemps après j'écrivais dans les trains
Sur son souvenir
De rien me disait-elle
est la plus forte.
quoique l'odeur des pommes, est bien aussi .
tu sais pourquoi ? parce que tu reviens a l'essentiel
l'essentiel c'est on corps et ton passé,
tu ne sais rien du reste qui se déplace
c'est une ondulation de l'espace temporelle
de l'invention.
Puisque tu ne sais rien de moi,
tu construis néanmoins en plus des éléments types
dun peu de nature un peu de drôlerie (canard) d'un peu de contexte .le vésinet le bac
tu construis avec trois idées . que tu colles a l'image de moi
trois trucs qu'il te fallait poser là, parce que tu le penses vraiment . ce sont des trucs sérieux
et beaucoup trop gentils. Le monde n'est pas un nuage et si je saute du balcon je meurs dans le goudron du parking.
mais tu le sais ,
je tembrasse
#361909 Et Souquent Ses Hanches Au Coeur De La Rame...
Posted by
on 07 December 2006 - 11:57 AM
in
Salon de publication principal
je vous en ai lu d'autres, mais celui ci demeure
pourtant allez tous lire celui là http://www.toutelapo...showtopic=45411
il s'en rapproche
pourtant allez tous lire celui là http://www.toutelapo...showtopic=45411
il s'en rapproche
#361908 Persiennes
Posted by
on 07 December 2006 - 11:48 AM
in
Salon de publication principal
Citation (Paname @ Dec 6 2006, 05:52 PM) <{POST_SNAPBACK}>
ça y est, ça r'commence...v'là que j'comprends plus !
ç'est un peu comme pour la musique sérielle...
je dois pas être formaté pour...
Amitiés
Paname
ç'est un peu comme pour la musique sérielle...
je dois pas être formaté pour...
Amitiés
Paname
non c'est bon signe
ce que tu as compris je l'ai réellement écris.
ca ce sont des collages parfois , où des machins chavirés.
ce sont des débuts . je fais souvent les débuts puis je m'arrête flemme ou plutot la passion qui sombre
je suis heureuse quand jarrive a ecrire, celui que tu as compris par exemple, ce n'est pas souvent. mais ca vient d'un coup , si je marrete ca donne ca.
dailleurs , j'ai vmt peine a croire que tu as compris. c'est un énorme hommage que tu me fais .
j'ai plutot l'impression que meme les débuts autant que les textes sont assez impossible à pénétrer.
jtembrasse
#361860 Persiennes
Posted by
on 07 December 2006 - 01:49 AM
in
Salon de publication principal
Un tas résolu, sublime or envié
Tu danses j'ai la rudesse de ton être entre l'épiderme. Sublime or envié tâche les yeux des faux entrechats entrelacs.
C'est dur d'être avec toi, c'est dur quand tu sautes sautes.
comment peux tu donner autant d'amour
Tu danses j'ai la rudesse de ton être entre l'épiderme. Sublime or envié tâche les yeux des faux entrechats entrelacs.
C'est dur d'être avec toi, c'est dur quand tu sautes sautes.
comment peux tu donner autant d'amour
#361712 L'eau Rage
Posted by
on 06 December 2006 - 12:12 PM
in
Salon de publication principal
ou comme les verts luisants de nos paradis artificiels
- salut paname et ham'
- salut paname et ham'
#361711 Assurément
Posted by
on 06 December 2006 - 12:10 PM
in
Salon de publication principal
recharge la page (:
et je crois que ça marche .
hé' mais il n'y a pas de problème ici. je vous embrasse
et je crois que ça marche .
hé' mais il n'y a pas de problème ici. je vous embrasse
#361710 A La Page
Posted by
on 06 December 2006 - 12:08 PM
in
Salon de publication principal
sourire
#361573 Assurément
Posted by
on 05 December 2006 - 06:46 PM
in
Salon de publication principal
il faut voir l'image,
n'écoutez pas . tu es fou
n'écoutez pas . tu es fou
#361569 Le Coiffeur De Ses Dames 2
Posted by
on 05 December 2006 - 06:33 PM
in
Salon de publication principal
mais vous êtes piquée de naissance ! toute nombril
-
sauf ca . pour le dixneuvième et d'autres
-
sauf ca . pour le dixneuvième et d'autres
#361565 Sur La Conscience..
Posted by
on 05 December 2006 - 06:29 PM
in
Salon de publication principal
hmmm
Plaies à l'âme dirais-je
hmm .
toi tu as eu l'habitude de l'expérience, la construction et la transposition ?
Plaies à l'âme dirais-je
hmm .
toi tu as eu l'habitude de l'expérience, la construction et la transposition ?
#361562 Mariciel
Posted by
on 05 December 2006 - 06:20 PM
in
Salon de publication principal
où ça . ..
"et nos corps à croiser l'écume
comme on brise la feuille
d'un fruit trop vert"
c'est mieux .
dis moi, tu le travailles tout ca ?
"et nos corps à croiser l'écume
comme on brise la feuille
d'un fruit trop vert"
c'est mieux .
dis moi, tu le travailles tout ca ?
#361559 Le Livre
Posted by
on 05 December 2006 - 06:16 PM
in
Salon de publication principal
j'ai conscience.
que tu es bien droit et lucide
tout en étant subitement magnifique .
que tu es bien droit et lucide
tout en étant subitement magnifique .
#361410 The Birds
Posted by
on 04 December 2006 - 11:27 PM
in
Salon de publication principal
Citation ((cloud) @ Dec 4 2006, 10:15 AM) <{POST_SNAPBACK}>
...
pan.
pan.
et bien . je ne sais pas ce qui s'est passé .
mais tu as tué mon navigateur qui a quitté inopinément a la lecture du commentaire
(voilà je réponds juste pr l'anecdote. parce que leste moi mais je suis un peu dans le vague . qui est le lapin?)
Citation (Gaston Kwizera @ Dec 4 2006, 10:19 AM) <{POST_SNAPBACK}>
tsss, m'oblige pas à nouveau à sortir le grand jeu (:
zap, c'est Zapiski id podpolia, c'est son résumé dont je parlais
non le texte, je me serais pas permis
et je plonge volontiers
comme on se retrouve quand même....
zap, c'est Zapiski id podpolia, c'est son résumé dont je parlais
non le texte, je me serais pas permis
et je plonge volontiers
comme on se retrouve quand même....
on se retrouve où on se trouve, non ?
#361405 The Birds
Posted by
on 04 December 2006 - 11:13 PM
in
Salon de publication principal
Citation (Gaston Kwizera @ Dec 4 2006, 10:08 AM) <{POST_SNAPBACK}>
c'est en quelque sorte un résumé de zap
bof, je n'aime pas les resumés
bof, je n'aime pas les resumés
qu'est ce que c'est zap ?
non mais pas plus hein . ca c'est déjà une critique . pas besoin de plonger sur quelque chose qui ne te plait pas (= .
par contre je fais ce qui ne se fait pas
#361398 The Birds
Posted by
on 04 December 2006 - 10:27 PM
in
Salon de publication principal
Citation (Zapiski id podpolia @ Dec 4 2006, 08:55 AM) <{POST_SNAPBACK}>
je suis amoureux de toi
Evidemment
#361395 The Birds
Posted by
on 04 December 2006 - 09:53 PM
in
Salon de publication principal
Où Lakanal se perchait au dessus du mur,
pour ne pas perdre à savoir que j'étais vivante
j'y tendais le cou fripé c'était l'aube chaude.
Tu nous avais réveillés en trop
et c'est seulement quand on a pu entendre que les escaliers de l'internat
ne résonnaient pas ; l'ordre du retour.
Déjà prendre ton embryon
à tours de hanches et décimer les minutes
à battre les invectives de tes affiches de propagande communiste denses.
Pour si peu de maîtres ronds
boursouflés de mêtres carrés.
Pour choix, la construction de l'intelligence de la chambre.
Je savais qu'une partie du dialogue se lisait sous la table,
encore que proie à ton immobilité je ne ne pouvais que
choisir de le savoir ou d'y penser.
Certains jours je venais en bordure des deux verbes,
celui ci où j'ai pu prolonger le voyage
au bout de la nuit les pieds dans la poussière
Pour pause qu'avaient les éléments préparés.
Ou j'ai suivi aussi la dissection du temps
et de ses principes sur l'espace, de son visage.
Or, jetée mêlée pressé la seconde compression
et lumière de vie. En toi et alors
je ne sais plus très bien si tu t'es égaré;
lorsque tu m'as mise neutre sous forme allongée.
Même que pour couper aux sens ton impression. Face au bas
et sans râle, pourtant l'oxygénation presqu'entremêlée comme le tissu des draps
Tu me balançais le corps de façon à déposer ton épiderme autour.
Diable, j'étais prise. Mais debout et dehors
je souhaitais que tu rêves
Entourée de tes fresques soudaines, par la force de ton corps, je tenais de mon poing à ce que tu ne m'aimes pas.
et puis tu n'as pas vu le visage j'ai ravalé.
----
http://www.radioblog...0Soundtrack.mp3
pour ne pas perdre à savoir que j'étais vivante
j'y tendais le cou fripé c'était l'aube chaude.
Tu nous avais réveillés en trop
et c'est seulement quand on a pu entendre que les escaliers de l'internat
ne résonnaient pas ; l'ordre du retour.
Déjà prendre ton embryon
à tours de hanches et décimer les minutes
à battre les invectives de tes affiches de propagande communiste denses.
Pour si peu de maîtres ronds
boursouflés de mêtres carrés.
Pour choix, la construction de l'intelligence de la chambre.
Je savais qu'une partie du dialogue se lisait sous la table,
encore que proie à ton immobilité je ne ne pouvais que
choisir de le savoir ou d'y penser.
Certains jours je venais en bordure des deux verbes,
celui ci où j'ai pu prolonger le voyage
au bout de la nuit les pieds dans la poussière
Pour pause qu'avaient les éléments préparés.
Ou j'ai suivi aussi la dissection du temps
et de ses principes sur l'espace, de son visage.
Or, jetée mêlée pressé la seconde compression
et lumière de vie. En toi et alors
je ne sais plus très bien si tu t'es égaré;
lorsque tu m'as mise neutre sous forme allongée.
Même que pour couper aux sens ton impression. Face au bas
et sans râle, pourtant l'oxygénation presqu'entremêlée comme le tissu des draps
Tu me balançais le corps de façon à déposer ton épiderme autour.
Diable, j'étais prise. Mais debout et dehors
je souhaitais que tu rêves
Entourée de tes fresques soudaines, par la force de ton corps, je tenais de mon poing à ce que tu ne m'aimes pas.
et puis tu n'as pas vu le visage j'ai ravalé.
----
http://www.radioblog...0Soundtrack.mp3
#361372 Moments
Posted by
on 04 December 2006 - 07:27 PM
in
Salon de publication principal
Citation (Zapiski id podpolia @ Dec 4 2006, 01:20 AM) <{POST_SNAPBACK}>
c pas mal
yes (: haha il l'a dit
#361289 En Portée (merci Emeline)
Posted by
on 04 December 2006 - 12:37 PM
in
Salon de publication principal
empört
ou
en portée
ou
en portée
#361288 Mêlés
Posted by
on 04 December 2006 - 12:35 PM
in
Salon de publication principal
mêlés des jours
le plafond a la tête et aux ultra sensibles sons
de nos étranges hurlements mêlés des nuits et des formes
le plafond a la tête et aux ultra sensibles sons
de nos étranges hurlements mêlés des nuits et des formes
#361284 Sans Titre.
Posted by
on 04 December 2006 - 12:11 PM
in
Salon de publication principal
jetée pelée portée
#361280 En Portée (merci Emeline)
Posted by
on 04 December 2006 - 12:08 PM
in
Salon de publication principal
fais nous les voiles. baisse les amours sur nos visages
de ma fenetre je vois deux usines monstres qui poussent le ciel de leurs fumées
de ma fenetre je vois deux usines monstres qui poussent le ciel de leurs fumées
#361279 Moments
Posted by
on 04 December 2006 - 12:06 PM
in
Salon de publication principal
Citation (baraka @ Dec 3 2006, 10:47 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Laisse-moi courir dans tes yeux
Juste un seconde
Jetée
Un air de rien frissonne
Trémolo du ponton
sous les larmes rebondies
des digues masochistes
Erosion cutanée de la grève
offerte
aux frotis lancinant
des bouquets de solen
et les tripes du varech
en copeaux de scalpels
repoussant les cris argentés
dans l'alcove oblique
d'une courtisane rugissante
Etrange
elle s'alite derrière la mire
de velours orangé
étendant se bas résille
sur l'enfilade émeraude
du large
Juste une seconde...
Et l'arceau baillant
aux mille et trois fournaises
calque sa dentelle
Bouche à bouche
perle l'océan
Juste un seconde
Jetée
Un air de rien frissonne
Trémolo du ponton
sous les larmes rebondies
des digues masochistes
Erosion cutanée de la grève
offerte
aux frotis lancinant
des bouquets de solen
et les tripes du varech
en copeaux de scalpels
repoussant les cris argentés
dans l'alcove oblique
d'une courtisane rugissante
Etrange
elle s'alite derrière la mire
de velours orangé
étendant se bas résille
sur l'enfilade émeraude
du large
Juste une seconde...
Et l'arceau baillant
aux mille et trois fournaises
calque sa dentelle
Bouche à bouche
perle l'océan
Ses bas orangés résident de velours, et rôdent sanglant
de perles dans le sable par le sel
sang sang océan mer je t'aime
